Comment s’est déroulée la résidence, entre la frénésie du festival et le calme de la montagne ?
« Nous avons enchaîné les longues sessions de répétition. C’était une opportunité assez unique d’allier la résidence, les moments de création entre artistes et le festival, en se confrontant à un nouveau public. On a profité de ce temps précieux pour s’accorder avec mes musiciens. On a pu déconnecter pour ne penser qu’à la musique, loin de l’agitation de Paris au milieu des montagnes de Samoëns. »