Styles
17 septembre 2018
Styles
17 septembre 2018
Il en a fallu peu pour que le dernier projet de l’éminent studio graphique français Ill-Studio et de la marque de prêt-à-porter à succès Pigalle fasse jaillir de plaisir les réseaux sociaux et les influenceurs adeptes des collaborations en matière de streetwear et de style urbain. Depuis l’an dernier et la création de ce terrain de jeu éphémère en plein Paris, de nombreux designers et artistes revisitent les codes esthétiques associés au basket-ball. Passage en revue de cette petite « équipe » qui affole Internet et inspire les grandes marques en quête d’une audience jeune et branchée…
couleur
brique
tempérament
player
touche
bling
tir
downtown shot
Via newyorksunshine.com
L’idée viendrait peut-être du Pop art et de tous les artistes post-modernistes, à commencer par Jeff Koons. En télescopant l’univers des objets usuels et des néons et supports liés à l’art minimal dans la haute sphère du marché de l’art, auprès des collectionneurs, cet ex-trader devenu un des artistes les plus célébrés (et décriés) du 21ème siècle à inspiré (ironie du sort !) les milieux des créatifs, la société de consommation elle-même.
En ce moment, l’Australie bouillonne et Dowel Jones est le dernier studio de création a avoir succombé à cette micro-tendance. Établie dans un ancien garage à Melbourne, la société composée de Dale Hardiman et Adam Lynch est connue pour ses objets minimaux certes, mais très inspirés de l’univers du sport et des objets du quotidien. Les teintes pastel prédominent dans leur univers de création.
Dans le même style, l’humour en plus, Victor Solomon, artiste californien originaire de Boston, est l’initiateur de la collection d’objets Literally Balling. Une gamme qui propose notamment des objets tirés « littéralement » repris l’univers du basket-ball et recouvert d’or ou de diamants. Graphique subtil ou tape-à-l’œil, choisissez votre camp.